Je reflechissais ce matin à une valeur fondamentale que j’aurais envie de transmettre à mes enfants.
Ah oui! J’ai oublié de vous dire qu’entre temps, j’en ai eu un deuxième. J’ai pris le temps qu’il fallait pour arriver avoir un nouvel équilibre et puis ce matin … j’ai à nouveau eu l’envie d’écrire.
Une valeur fondamentale à transmetrre à mes enfants donc:
l’indépendance, la capacité à penser par et pour sois même. Respecter tout le monde mais n’être impressionner par personne. Vivre en paix avec chacun mais suivre sa propre route.
La vie est simple quand on y pense… l’erreur qu’on fait souvent c’est de croire qu’il faut avoir un avis sur tout. En réalité… il faut juste savoir ce qu’on veut.
Ne pas avoir honte dêtre différent, ne pas s’excuser de vouloir autre chose, de faire autre chose, d’être autre chose.
J’aime beaucoup cette citation qui dit que « nobody is you and it’s your super power ».
Les gens passent leurs temps à vouloir savoir comment avoir confiance en eux, comment faire pour paraître une personne forte, comment avoir du charisme etc…
Et si la réponse était: Il faut prendre le temps avec sois même, se découvrir, se connaitre et être loyal à sois.
Découvrir ce qu’on veut vraiment, ce qu’on est vraiment.
Qu’est-ce qu’on veut vivre? Qu’est-ce qu’on veut vraiment représenter. Et quand on le sait… ne pas s’excuser d’aller vers ce qu’on a définis.
A quoi ça sert une vie passé à raser les murs?
Et si vous arrêtiez d’essayer d’être discret? On vous remarque! On vous remarque de toute façon! Soyez-vous, trompez vous, relevez vous … pleurez donc, riez donc échouez donc, essayez encore reussisez donc… soyez vous, vivez ce beaux cadeaux qu’est la vie, ne vous excusez pas d’être si different.
J’ai eu un boss qui m’a marqué. Il était flammand et moi je suis francophone…Lors d’un meeting il m’a fait remarqué que j’ai fait une faute d’orthgraphe sur un courriel envoyé dans sa langue. Il m’a répondu en français et je lui fait donc remarqué qu’il a fait une faute d’orthographe en écrivant en français… il me répond : « oui non je sais que ça ne s’écrit pas comme ça mais c’est mon style ».
J’éclaté de rire en plein meeting c’etait plus fort que moi.
Je ne vous encourage pas à ne pas reconnaitre vos erreurs, mais j’ai aimé cette confiance en lui… et puis je me suis rendu compte que ça m’arrivait aussi sur tout ce qui est déco ou vestimentaire ou même mes choix de vie. Je refuse déliberémment les associations « parfaite » …Suivre ce chemin – là… et ce n’est pas assez Fens.
C’est au travers de petit choix comme ça qu’on se créée une vie ayant une saveur particulière: se connaitre, s’accepter, s’assumer et ne pas se trahir.
Sincèrement, je suis convaincue que tout pars de l’intérieur.
La seule personne à qui vous devez rendre des comptes, en réalité, c’est vous. Au lieux de penser à ce qui est bien ou pas, préocuppez vous d’avoir bien compris ce qui est vous.
En tant que mini Steve Urkel , c’est naturellement que ce reportage m’a parlé.
Je me suis identifiée et j’y ai vu une lueur d’espoir… ça m’a reboosté.
Quand les gens sont sous le feux des projecteurs , la presse aiment les décrire comme des icônes qui dès le plus jeune âge étaient exceptionnels…Comme si c’était écris dans les étoiles que leurs destins seraient fabuleux.
Mais quand on cherche plus loin, quand on ouvre les bouquins, les biographie, on réalise vite que le succès fulgurant n’existe pas. Ces gens exceptionnels ont travaillé des années pour arriver. On réalise qu’ils sont comme nous, qu’ils ont fait des erreurs.
Regardez ce que j’ai découvert:
Les galères de Kanye
Kanye West c’est premièrement un homme plein de contradictions …comme vous et moi.
Un homme qui a abandonné ses études supérieures pour réaliser ce seul désir brulant et passionnant qui le dévorait : la musique. Il ne s’est pas éparpillé à souhaiter vaguement 1500 choses. Non il a tourneé toute son énergie à entretenir une seule flamme : la musique.
Les médias aiment parler de son égo et de ses déclarations choquantes. En réalité, quand on prend du recul et qu’on se focalise sur son histoire . On comprend vite que ce « gros égo » est en fait ce qui lui a un peu sauvé la mise.
C’est grace à cette confiance en lui qu’il a trouvé son chemin au travers de toutes les épreuves qu’il a rencontrés.
Il a travillé des années dans l’ombre. Une de ces premièr réel succes est arrivé lorsqu’il a travaillé en tant que producteur sur l’album de JAY-Z » The Bleu Print » en 2000.
(image de l’album)
Il a toujours su et voulu rapper. Mais n’étant pas excatement le prototype du « gansta », le milieu avait du mal à lui donner sa chance. Ce garçon, fils de professeur d’université n’avait aucune « street » crédibilité. Et apparement c’était essentiel au milieu du rap de l’époque.
En gros le mec était discriminé par ce qu’il n’était pas un voyou… Oui, moi aussi j’ai ris quand j’ai su ça… le monde à l’envers.
Mon article est intitulé « through the fire », en hommage à son album « through the wire ». En octobre 2002 , il a un accident qui a failli lui couter la vie . Toutes la rééducation qu’il vécu lui a inspiré le titre « through the wire » et l’album du même nom.
Dans le clip on voit des images de l’accident et de sa vie de l’époque. Les photos et ainsi que les mini scènes du clip montrent son histoire . Qui il est à ce moment-là. Rétrospectivement, on peut dire que ça nous montrait aussi ou il alait.
Ce titre par la même occasion le premier de ses hits.
Sa foi chrétienne revandiqué fait régulièrement parti des contradictions qu’on lui prête. Pourtant, il n’a jamais caché son identité. Il est toujours resté lui même et depuis Jesus Walks a batti son succès sur l’authenticité de ses désirs, et de sa passion.
Les galères de Kim
La plus grande star de la télé-réalité soit disant célèbre pour être célèbre.
Si vous comprenez l’anglais cet article et celui-là vous donneront une petite idée de ce qu’elle pèse vraiment.
Qui peut survivre à une sex tape? C’est une violation totale de l’intimité d’une personne ou d’un couple.
Aussi positive que je sois entrain de devenir, je ne vous cahce pas que je ne suis pas sur de pouvoir survivre à une chose pareils.
Mais à priori, elle aussi, a su transformerer cet evenement atroce en tremplin. Pas longtemps après ça , elle a lancé sa propre télé-réalité .
Une love story au début pas très glorieux
Et oui, des débuts assez douteux pour ce couple qui est devenu malgré tout un des plus glamour et puissant d ‘Hollywood. En effet , on dit que du temps ou Kayne était encore avec Amber Rose, Kim lui envoyait déjà des photos coquines.
Quelle leçon en tirer? Rien ni personne n’est condamné à l’échec. En persistant on arrive à faire quelque chose de beau de ce qu’on entreprend… peu importe la façon dont ça commence.
Ceci étant dit, je ne vous encourage pas à tricher . Mais bon nous savons bien que certaines histoires comencent comme ça. Quoi qu’on en pense, c’est la réalité.
North West: une nouvelle réalité
Un nom bien « chelou » auquel on a tous finnis par s’habituer.
En fait aucun de nous n’a à s’ajuster à la norme, à ce qui se fait…ou ne se fait pas.
Chacun de nous vient ici bas avec sa particularité, son grain de folie ou de génie… et c’est en l’exprimant qu’on donne à sa vie une saveur toute particulière.
Et si le secret c’était de mettre du sérieux dans la façon dont on exprime cette particularité ?
En conclusion, KIM & Kanye je les aime pour leurs erreurs et leurs imperfections.
Malgré leurs échecs, malgré les critiques, ils restent persuadés qu’ils ont quelque choses de spécial et continuent de trouver des moyens d’exprimer leurs créaivitées. Aucun de leurs échecs, ne les a arrette.
Quoi ?
Je vous ai donné envie de découvrir ou de rédécouvrir le tite « Through the Wire »? Faites-vous plaisir
J’ai découvert cette recette et j’avais envie de la partager.
Avec le beau temps , on a souvent envie d’un plat lèger , frais et rapide pour nos picnics sur le pouce.
Alors c’est tout simple:
Les ingrédients:
Un choux-fleur bien frais
Du persil (plat ou frisé ,c’est comme vous voulez)
De la coriandre
Quelques feuilles de menthe
Quelques tomates cerises
Du romarin
De l’huile d’olive
De l’ail
Du sel
Du poivre
Un demi-oignon
Du citron vert
Les ustensiles:
un râpe ou un mixeur
une saladiere
une spatule en bois
un couteau
La marche à suivre:
Tout d’abord, vous retirez les feuilles de votre choux-fleur, vous le nettoyez correctement.
Ensuite: vous le rapez. Moi, je coupe la quantité qu’il me faut et je la passe au mixeur 10 secondes jusqu’à obtenir un aspect qui ressemble à la semoule ou au couscous.
Vous pouvez ensuite découper toutes vos herbes et les mélanger à l’huile d’olive et le votre couscous de choux-fleur. Etant plutôt d’une nature impatiente, je prends quelques feuilles de chaques herbes et je passe le tout au mixeur (après les avoir rincé, bien entendu) . D’ailleur l’oignon y passe aussi.
Je mélange ensuite tout les ingrédients dans ma saladière.
Je rajoute de l’huile d’olive , du romarin, de l’ail , du sel du poivre.
Je découpe mes tomates cerises en 4 (pour que ma fille puisse les manger plus facilement) et je les mélange ensuite au reste .
Alors suivant que je sois vraiment pressée ou pas, je rajoute le citron vert comme suit:
flemme modéré: je roule le citron sur le plan de travail après l’avoir rincé biensure . Je le coupe en deux et je presse le jus sur la préparation.
flemme extrème: je rince le citron vert, je découpe une fine tranche que je mélange à mes herbes aux moments de les passer au mixeur.
Voilà, c’est pret.
Régalez-vous de suite ou laissez-le reposer au frais pour le dîner.
Pour un maxi effet en picnic, n’hésitez pas à le mettre dans des bocaux en verre.
Je suis toujours dans cette quête d’une plus grande confiance en moi.
Ah? Comment ? Vous ne saviez pas ?
Oui voilà mon objectif 2020 est de me construire une confiance en moi en béton armée et de mener une vie plus libre. Voilà d’ailleurs aussi pourquoi j’ai renommé le blog comfensidence.
J’avais commencé il y a quelques semaines un challenge neutrals.
On dirait quelques choses de super complexes comme ça mais en réalité ça constitue juste à ceci:
S’habiller de façon monochrome en privilégiant les couleurs neutres.
Pourquoi quelqu’un voudrait s’infliger ça ?attendez je vous vous explique d’où je viens.
En novembre 2019 j’ai suivi un challenge « all black « outfit.
C’était géniale, ça m’a simplifié la vie. J’ai gagné du temps et je me suis senti bien tout les jours.
Je ne sais pas si vous êtes aussi comme ça . Mais quand je ne me sens pas bien dans mes vêtements la plupart du temps je passe une mauvaise journée et j’ai moins confiance en moi.
Tout s’est tellement bien passé et je trouve les tenues monochromes toujours si élégantes que j’ai voulu me lancer dans un challenge Neutrals.
Ça ne se passe pas très bien je vous l’avoue. Contrairement au noir j’ai pas autant d’habits dans les couleurs neutres.
J’ai du mal à suivre,
Aujourd’hui par exemple j’ai un pull et une jupe mais ce n’est pas le même bleu
Mon pull est presque bleu marine. J’ai constaté que je n’ai aucune jupe bleue marine. J’avais un short mais il est devenu trop grand.
Je ne sais pas vu mais je trouve que ça habiller le matin est un vrai casse-tête.
Je ne choisi pas la veille par ce que je veux que ça reflète mon humeur du jour.
Je suis toujours à la recherche de mon style. Je m’explique , je suis à la recherche de tenues qui sont le parfait compromis entre le style que je veux avoir, l’humeur du jour, quelque chose de professionnel mais qui me permet quand même de « stand out » par ce que je déteste ressembler aux autres où faire comme tout le monde .
C’est dur. Mais à force de chercher j’ai une ou deux sur base desquelles je vais continuer d’investiguer cette année :
1. Quand je suis en talon je me sens plus forte et j’ai plus de fighting spirit
2. Le total look noir est le meilleur amie de tout le monde
3. Le total look de couleur neutre est archi élégant.
Et vous ? Vous trouvez vôtre chemin dans vos outfits ?
Je suis tombé sur cette vidéo il y a quelque temps
C’était long, 4 heures, je me suis dit que c’était peut-être bien un signe que l’univers m’envoyait. Car en faisant le bilan de mon année basé 2019 basé sur les 30 causes d’échecs listés dans think and grow rich de Napoleon Hill
J’ai pu pointer le manque d’auto discipline et la dispersion comme point à améliorer dans ma vie.
Bien entendu je vous encourage à lire ce livre.
Pour ne pas rendre cet article interminable je vous liste les 30 causes d’échecs ici. Cela peut vous aider à faire votre bilan perso comme ça l’a été avec moi.
Comment j’ai procédé ? J’ai répondu le plus honnêtement aux 28 questions de bilan personnel proposés aux pages 185 , 186 et 187 du livre. Vous pourrez les trouvez ici.
Une fois que ça été fait, je suis retourné aux pages 178 à 183 pour essayer d’identifier quelles sont les causes qui m’empêchent d’avancer. Je l’ai d’abord fait seul, le plus honnêtement possible et puis consciente que je ne voient pas comme les autres me voient j’ai sélectionné un proche de confiance avec qui j’ai parcouru la liste une seconde fois, sans évidemment lui dire ce que moi j’avais noté. J’ai été doublement surprise.
Premièrement, il a pointé moins de cause d’échecs que moi. J’ai mis ce résultat en perspective car c’est toujours délicat de dire toute la vérité à une personne qu’on aime, on ne veut pas blesser. À ce propos j’ai pris soin de sélectionner une personne qui a un franc parlé.
La seconde surprise a été de constater que certain point que j’avais moi-même relevé ont été pointé par cette personne aussi . Ce qui m’a permis de constater que non seulement j’avais une vision réaliste de mes points d’amélioration mais aussi que c’est point doivent être impérativement améliorer cette année, qu’ils constituent ma top urgence.
L’un des point d’amélioration était l’autodiscipline, c’est pour ça que quand je suis tombé sur cette vidéo, j’ai pensé que c’était l’univers qui s’adressait à moi.
J’ai écouté les 4 heures plusieurs fois et je vous en propose un résumé dans cette article.
Si vous souhaitez vous-même l’écouter en totalité vous pouvez avoir accès à la vidéo en cliquant ici.
Je me suis inspiré des notes de SADMAN SADIK pour écrire mon article.
L’autodiscipline se manifeste par certains traits de caractères , 10 plus particulièrement :
Avoir un objectif clair et précis
Avoir des mentors ou des modèles positifs là ils donnent l’exemple d’un gamin programmé à l’échec qui a appris s’est vu dire qu’il était la réincarnation de Napoléon Bonaparte et qui et a lu et étudié tout ce qu’il pouvait sur lui et a tout fait pour développer les traits de caractère et a réussi dans la vie tout ça pour rencontrer à nouveau la diseuse de bonne aventure qui a finis par lui avouer qu’elle avait menti. Je trouve cette exemple super important car dans beaucoup de livre sur le développement personnel que vous lirez on vous encourage à absolument tenter d’entrer en contact avec vos mentors et à les rencontrer à travailler avec eux pour eux à les servir, mais bon ce n’est pas possible pour la plupart ‘entre nous et on peut se décourager quand on constate ça. Je suis passé par là et cette histoire m’a permis de me rendre compte que je peux toucher le caractères des gens personnes qui m’inspirent rien qu’en les étudiant et en les imitant.
Avoir une volonté de fer
Avoir la « I CAN DO « attitude, c.-à-d. se persuader sois même qu’on va y arriver.
Avoir la capacité de planifier et d’organiser ses actions, si on ne l’a pas faire le nécessaire pour l’apprendre, oui c’est possible. Il y a une tonne de bouquins et de coachings sur le sujet.
Etre patient : devenir une personne qui a de la persistance et de la persévérance en claire ne jamais abandonner, être conscient que ce qu’on veut atteindre peut perdre des années à se matérialiser, être prêt à en payer le prix et surtout être constant dans l’effort. Je pense que c’est de ça que MARGAUX KLEIN parle quand elle dit qu’il faut être prêt à donner beaucoup et longtemps avant de recevoir . Elle parle de ça dans son livre BONJOUR RICHESSE (lien). Si vous êtes producteur de contenu web, ou que vous songez à vous lancer là-dedans je pense que c’est un livre que vous devez lire.
Changer son attitude par rapport au travail, devenir une personne qui prend du plaisir en travaillant en général et plus spécifiquement sur son projet. Ça fait passer le temps plus vite et le prix à payer pour atteindre son objectif n’est plus perçu comme un sacrifice, ça devient un plaisir.
Bien entendu, si vous souhaitez sortir de votre zone de confort, vous avez certainement établi un objectif pour laquelle vous n’avez pas encore toutes les compétences. Pour l’atteindre il vous faut donc acquérir de nouvelles compétences . Le bouquin explicites 3 étapes de l’apprentissage .
J’ai beaucoup apprécié cette partie de l’audiobook ou il nous invite à reconsidérer les matières dans lesquelles on échouait à l’école. J’aime aussi ce qu’il explique sur els mathématique, il explique pourquoi beaucoup de gens se sentent nul en math et finissent par être nul en math. Il explique que les mathématiques sont une science pas difficile mais exigeante ou chaque théorème est basé sur la compréhension et l’assimilation de la précédente et que la seule façon de s’en sortir dans cette matière est de fournir un travail quasi quotidien et persistant et que souvent ce sont justement des personnes intelligentes mais négligente qui finissent par se labellisé nul en math. Pourquoi ? car les math demandent un exercice quotidien et comme ses gens ont pris l’habitude de s’en sortir en n’étant pas persistant dans leurs efforts quand ils échouent en math au lieux de prendre la responsabilité de constater qu’il manque de persévérance et de rigueur, ils préfèrent se labellisé « nul en math » et se tourner vers des matières qui exigence moins d’implications. Cela a résonné en moi si fort car ça m’a rappelé mes années d’études. J’ai commencé mes études supérieurs par la médecine, alors oui c’est vrai je n’aimais pas et j’ai échoué au début lamentablement en mathématique et physique surtout. Je me suis accroché mais je n’ai jamais vraiment travaillé sur la cause de mon échec en médecine c.à.d. la négligence. Et le fait de n’avoir aucune motivation ne m’a jamais permis de viser l’excellence, donc j’ai échoué. Pourtant avec le recul je pense que les germes de la persistance et de la persévérance se sont développé en moi à cette époque. J’ai bossé mes math t ma physique si fort. J’ai quitté la médecine et j’ai été faire une License en économie. Là également je me suis retrouvé face à un gros paquet de mathématique et de statistique mais cette fois-ci ça été. Pendant des années je ne m’expliquais pas comment ça été possible et en plus sans souffrance ni frustration n fait j’adorais ces épreuves. Aujourd’hui, je sais que ce qui a contribué à ça.
Mes profs de fac en licence d’Eco était tellement accessible, et aussi, je me suis lié d’amitié avec un groupe de personnes on déconnait ensemble on riait ensemble , on étudiait ensemble. Ils étaient plus calé que moi en math et se faisait des mini challenge. (Il y en a un qui avait le béguin pour moi – c’était réciproque) à force de passer du temps ensemble, il m’ a intégré à son groupe et ils m’ont refilé leur motivation pour les challenges mathématiques de nos cours. Je m’amusait tellement.
J’ai beaucoup de plaisir à me remémorer cette époque. Et je constate que le bouquin dit vrai. La License en éco a été peut –être si bien justement parce que je me suis éclaté à la faire.
Bref, les 4 étapes de l’apprentissage selon ce bouquin
sont donc :
Premièrement décider ce qu’on veut apprendre : à cette étape l’auteur parle de beaucoup d’hommes à succès qui ont décidé d’arrêter les études pour n’apprendre que ce qui les intéressait et qui ne sont jamais revenu.
Secundo être convaincu qu’on peut apprendre ce qu’on veut apprendre
Tercio : être patient lors de l’apprentissage, la persévérance dans l’effort d’apprentissage. Vous n’avez pas idée du nombre de fois que le concept de la patience revient dans ce livre audio mais aussi finalement je le réalise dans toutes les lectures que j’ai faites sur le secret du succès cette année. Je me demande finalement si ce n’est pas l’ultime secret de réussite des projets.
La créativité :
J’aime beaucoup la façon dont il aborde la question de la créativité. Le fait d’énumérer un cheminement de la créativité a totalement détruit en moi cette idée fausse que j’avais comme le commun des mortels que certaines personnes sont créatives et d’autres pas.
Avec ce cheminement de la créativité j’ai constaté qu’en réalité, nous sommes tous créatifs.
L’auteur décris la créativité en 4 étapes :
Premièrement la préparation, je pense que cette partie se fait inconsciemment chez certains et consciemment chez ceux qui justement ont compris que la créativité peut se stimuler. On peut nommer ça vulgairement « chercher l’inspiration » . On se nourrit d’information, on se renseigne sur un sujet qui nous passionne, ou qui nous intéresse. Notre cerveau accumule les connaissances et les avis des uns et des autres sur la problématique.
Ensuite vient L’incubation : C’est la période où on se déconnecte de la source d’information sur la problématique, on fait autre chose, mais notre cerveau continue involontairement à travailler sur la problématique. C’est un peu comme si vous épiciez le poulet à l’étape 1 et à l’étape deux vous laisser reposer le poulet dans la marinade, comme ça toutes les épices pénètrent bien. Cette étape peut–être plus ou moins longue et se dérouler en même temps que la première, certain sujet nécessiterons d’ailleurs des année de préparation et d’incubations
La troisième étapes est l’illumination : EUREKA . Votre tête goupille toutes les informations pour vous donner la solutions à la problématique. Et ça, ça se moment, là je pense qu’on l’a tous vécu. Une lumière s’allume dans votre cerveau, un feu vous envahi tout entier. Il faut saisir l’instant, certains appellent ça l’inspiration. N’éteignez surtout pas le feu quand vous vivez ce moment-là prenez votre smartphone ou votre cahier de note écrivez parlez , consignez votre « AAAAH moment » quelques part. Si vous attendez, vous perdez le flow.
Saisissez l’opportunité.
La dernière étapes du processus créatif est la vérification. Ce n’est ni plus ni moins ce moment où vous reprenez vos notes consignez pour mettre en pratique l’idée, la solution que vous avez trouvé.
Selon Sadman Sadik, les deux piliers de l’autodiscipline sont enfin de compte :
La persistance et la persévérance.
Mais qu’est-ce que ces termes impliquent vraiment ?
Le Larousse (lien) définit la persistance comme le fait de persister, de durer. C’est l’action de s’obstiner dans un comportement.
Tandis que la persévérance est c’est l’action de continuer dans une ligne d’action, dans une manière d’être. L’internaute (lien) le définit comme le fait de résister de durer , le fait de s’obstiner.
Les synonymes sont la constance, l’obstination, la ténacité
L’auteur explicite deux chose que nous devons retenir à ce propos :
Premièrement :Nôtre cerveau ne peux pas distinguer l’imagination et la réalité.
Deuxièmement , si on essaie de visualiser l’accomplissement d’un projet, notre corps va ressentir toute les émotions de notre vision. Et ces émotions nourrissent nôtre persévérance.
Dans cette partie l’auteur explique pourquoi on dit que visualiser un accomplissement dans sa tête permet de manifester cet accomplissement dans la réalité. Ce sont en réalité toutes les émotions que cette vison va engendrer qui vont nourrir notre persistance et notre persévérance.
Je ne sais pas pour vous, mais je trouve tout ceci simplement délicieux et magnifique.
Non, ce n’est pas une faute de frappe je vous rassure.
Prelle= Professionnelle et belle.
Tout d’abord bonjour.
Merci de vous être arrêté sur mon blog.
N’hésitez pas à me laisser une trace de votre passage en commentant cet article.
Quand on a les cheveux frisés, crépus ou bouclé court on est victime de certains verrous mentaux inconscients: Quelle coupe de cheveux avoir quand on a les cheveux crépus court ? Quelle coiffure pour les cheveux crépus court ? Comment maîtriser ses cheveux crépus court dans un look satisfaisant quand on est coquette ou qu’on évolue dans un secteur aussi formelle qu’une banque par exemple ? Les questions fusent !
De plus en plus de femmes ont envie de tenter l’aventure naturel.
Mais pas besoin de changer de choix de carrière ou de vie à cause de ça. Nos cheveux doivent s’adapter.
Si vous vous y connaissez déjà un peu en cheveux naturel alors vous savez que la réponse à la question comment boucler les cheveux naturel sans source de chaleur et surtout les conserver démêlés quelques jours d’affilés en évitant qu’ils rétrécissent est : la mise en plis et l’effet mèche à mèche.
Ah ? quoi ?
Vous ne saviez pas ? Moi j’ai découvert ça par Miss Camaelle
D’ailleurs en vous préparant cet article j’ai enfin oser cliquer sur les liens qu’elle mets toujours en dans la bare info de ces vidéos. Du coup j’ai pu recevoir un guide d’achat de produit totalement gratuit
Ça fait des années que je suis naturel, mais je m’étonne de découvrir encore des pensées limitantes dans mon esprit. La preuve il n’y a qu’aujourd’hui que j’envisage de me faire coacher pour en finir définitivement avec les longueurs qui stagnent et avoir la chevelure de mes rêves.
Notre subconscient a intégré que le même le court doit être lisse pour être professionnelle , beau et même sexy.
Il y a environ un mois je me suis fait des tresses.
Hier en ouvrant mes rastas, j’étais dépité de constater que ma dernière coiffure dite protectrice n’avait rien protégé du tout. Mes cheveux crépus se sont affinées. J’ai moins de volume.
Ma tignasse crépus étaient bien détruite .
J’en ai parlé à ma communauté sur insta et une amie à la chevelure magnifique a réagis.
Elle m’a conseillé un masque à l’avocat que je tenterais probablement dimanche matin.
Ce matin, en me préparant pour ma séance de sport, je me suis attaché les cheveux. En le faisant je me suis rappelé que mon amie Véronique m’avait conseillé de me faire un masque à l’avocat et de saturer mes cheveux en huile de ricin .
Comme je n’avais pas le temps pour le masque j’ai fais fondre du beurre de karité au mirco onde 30 secondes. Je l’ai mélangé avec de l’huile de ricin et de huile d’olive puis saturé mon twist out d’hier.
Après ma douche, une fois habillée, je suis passé devant le grand miroir du couloir. Je voulais détacher mes cheveux et les coiffer avant d’aller travailler.
Et c’est là que le « AH » moment est arrivé.
C’était comme une lumière qui s’allumait dans mon cerveau.
J’ai découvert, un peu bouleversée une apparence qui me satisfaisait.
Je me suis trouvé « pas mal » dans mon look du jour… Puis une autre idée m’est venu: et… et si j’essayais mes low boots noir avec?
–FENSAMA (FENS SAGE PIEUSE ET VERTUEUSE): lesquelles So?
-FENSOJI (FENS AVENTUREUSE QUI PREND LA VIE POUR UN JEUX VIDÉO INTERGALACTIQUE DONT ELLE SERAIT L’HÉROÏNE): celle d’hier! Elles étaient confortable non ?
-FENSAMA: Noon! ça va faire trop sexy.
-FENSOJI (qui n’écoute jamais personne): tant pis j’essaie pour justement une sortie futur ou je devrais justement être sexy. Comme ça, je photographie le outfit et je sauvegarde dans ta mémoire Sam, vu que la mienne est un gruyère! Regarde Sam! Ça match et c’est pas sexy du tout puisque mes collant sont opaque.
-FENSAMA: J’avoue So! Plutôt pro en fait comme outfit en fait.
C’était assez « Fenslike »pour une journée de boulot. J’ai attrapé des boucle d’oreilles, mon manteau noir évidemment et je suis sorti en oubliant mon écharpe !
En arrivant au métro du boulot, devant le miroir, j’ai constaté que je n’avais pas défait mes couettes. Et qu’en plus mes deux couettes n’étaient pas volumineuses puis que je n’ai pas beaucoup de cheveux. Et que mes cheveux était crépus. Et que je me sentais tout de même PRELLE.
BREF :
Ce matin j’ai découvert que je n’avais pas besoin de porter des rajouts pour me sentir PRELLE.
J’avançais confiante dans la rue encore calme quand un grand brun aux allure de Jon Snow sortant de chez lui m’interpelle: mademoiselle je vous trouve parfaitement belle.
J’ai répondu: « Je suis mariée d’un ton conquérant et belliqueux, comme si je m’apprêtais à sortir une épée pour me battre en duel » et j’ai détallé!
Un de mes follower instagram m’a posé une question, il y a quelques jours
Si vous ne me suivez pas sur instagram sachez que vous pouvez me trouvez sous le pseudonyme Preto Schwarz .
La question était: qu’est ce qui a été le plus difficile dans ton parcours de vie mais dont tu es le plus fière.
Je n’ai pas réussi à apporter une réponse. Mais j’en ai trouvé trois.
Je vous mets le lien en fin d’article.
Je ne m’étais jamais posé cette question et je suis assez contente de la réponse que j’ai pu apporter.
En y répondant je me suis senti forte et confiante en l’avenir.
J’ai aussi ressenti un peu de nostaligie.
C’est incroyable comme quand on est pleine épreuve on vit les choses à fond. Chaque nouveau rebondissement nous prend au tripes. On a l’impression que la prochaine attaque sera fatale pour sur.
Pourtant, restant accroché à ce qu’on veut vraiment et avançant pas à pas, on réussi à s’extirper de presque n’importe quelle situation.
Avec le recul je me rend compte que le fait de m’être accroché à l’image que j’avais dans la tête et le fait d’avoir su ignorer mes critiques a été salutaire pour surmonter pas mal de choses dans ma vie. Et ce même quand ces critiques venaient de personnes proches.
Ce que je tiens à partager avec vous aujourd’hui c’est que les batailles de la vie, sont primordiales. Elles font mal, elles nous obligent à nous redéfinir parfois même à nous isoler mais elles sont en réalité des dons du ciel. Pas à cause de ce qu’on obtient quand on a gagné la guerre. Mais précisément à cause de ce que ces guerres font de nous.
Ces problèmes, ces pertes, ces trahisons, ces abandons, ces périodes de mal être nous révèle à nous même et s’en suit généralement une période de renaissance qui nous change à tout jamais.
J’ai trouvé la question intéressante et je vous la pose à mon tour:
Qu’est ce qui a été le plus difficile dans votre parcours de vie mais dont vous êtes le plus fière?
Je prévois d’interviewer 5 instagrammeuses et 5 « facebookeuses » également sur le sujet. Cela fera probablement l’objet de mon prochain article.
N’ hésitez pas à découvrir Ma réponse sur IGTV et me dites moi ce que vous en pensez.
Je suis pressée de découvrir comment vous avez gagné les plus belles batailles de vos vies et ce que vous êtes devenus grâce à elles.
Aujourd’hui je vais parler d’une vidéo de Less Brown, disponible sur Youtube.
Tu trouveras le lien en bas de l’article.
Tout d’abord, qui est Less Brown ?
Less Brown est un des plus grands « MOTIVATIONNAL SPEAKER » reconnu à ce jour.
Invité par les entreprises américaines pour parler aux personnels, Il a vraiment des mots qui touchent l’âme et son énergie ne peut pas te laisser indifférent.
J’ai entendu parler de lui par un ami il y a déjà quelques années.
À l’époque j’ai laissé trainer une oreille distraite lorsqu’il écoutait en boucle cette Vidéo .
C’est resté sans suite. Je n’étais peut-être pas prête.Tout ce que j’ai retenu c’était
Sa « catch phrase » est « It’s possible »
C’est simple et court pourtant ça dénotte franchement avec ce que tu entendras la plupart du temps autour des tables de café.
Et ça dénote peut-être même avec votre dialogue intérieur du moment.
On a trop pris l’habitude de considérer le scepticisme, le cynisme et le pessimisme comme des marques d’intelligence. Mais si tu es attentif à tes émotions, tu te rendra vite compte que ce sont des états d’esprit qui assassinent tout enthousiasme en toi.
Je me dit que si un homme doté d’un tel back ground soutient que « c’est possible » alors c’est que ça l’est certainement .
Son histoire commence pourtant très mal.
Un bref aperçu sur son enfance :
Abandonné à la naissance dans une cage d’escalier, son frère jumeaux Wesley et lui sont recueillie et adopté par une mère célibataire qui cumulait deux boulot pour pouvoir les éduquer.
À l’école, il est labellisé « educable mentally retarded » .
Ce qui signifie en gros qu’il avait un retard mental léger où moyen…enfin c’est ce que son équipe pédagogique de l’époque a décrété.
Je vous laisse imaginer les dommages sur l’estime de sois.
Autant te dire que des professeurs ne pariaient pas sur lui. Tout au long de sa jeune existence il est découragé par son entourage à entreprendre quoi que ce soit de valable.
Dans ses speachs il raconte comment les événements de la vie se sont initialement goupillés pour qu’il soit programmé à l’échec.
Mais sa volonté de s’en sortir, son état d’esprit et de précieuses rencontres lui permis de s’en sortir.
Pour ma part, je suis admirative de la façon dont il a tiré parti de cartes qui auraient pu briser n’importe lequel d’entre nous.
Son histoire est celle d’un homme qui transformé chaque obstacle en tremplin afin de se créer une vie de liberté. Il mène une vie selon ses termes et sa vie ne le domine pas.
Je ne sais pas ce que tu attends de la vie, mais moi c’est clairement ça! Je veux être au commande de ma vie et n’être l’esclave de rien ni de personne.
Si tu veux en savoir plus sur sa vie et son œuvre :
Sinon sur Wikipedia tu trouveras également pas mal d’infos.
Dans cette vidéo, il commence par expliquer que ce que nous faisons dans la vie en ce moment n’est qu’une partie immergé de l’iceberg de ce que nous sommes capable de réaliser.
Il est primordiale que tu comprennes que ce que ta vie produit maintenant n’est pas le reflet de l’ensemble de tes capacités. Tu es capable de plus et moi aussi d’ailleurs.
Il nous invite à penser à notre contribution sur cette terre. Il conseille de ne pas vivre sa vie en étant simplement dans la réaction. Mais de faire le nécessaire pour vivre sa vie librement selon ses propres termes. Il nous invite à vivre ce qui est en nous.
Les êtres humains sont, dans nos sociétés, comme hypnotisé par le quotidien : métro boulot dodo.
Un refrain qui se répète inlassablement. Un rythme effréné dans lequel beaucoup consument leur vie sans rien accomplir de réellement épanouissant.
En nous interrogeant sur nos buts, nos objectifs. Il nous invite à penser à ce que qu’on attend vraiment de la vie. Toute la vidéo tourne autour du fait de ne pas se contenter des miettes mais de partir à la recherche de sa part.
Il encourage aussi à ne pas négliger ses idées .
Car tout commence par là:
Une idée.
Il conseil d’exploiter activement chaque idée qu’on a.
Le soucis c’est que la plupart du temps elles disparaissent aussitôt qu’elles sont apparu.
C’est pour éviter de les perdre que L’entrepreneur Jim Rohn nous encourage à les noter. C’est la meilleure façon de les capturer. J’ai teste ça depuis cette été et ça marche. J’arrive à faire de plus en plus de choses et je trouve des solutions à pleins de situations que je rencontre.
Less Brown pense qu’on a tous quelque chose en nous de spécial et d’unique en nous.
Il conseille de trouver cette chose et de commencer. Commencer tout doucement.
Ne fût ce que pour voir si l’idée qu’on s’en fait peut matcher avec la réalité qu’on veut vivre. Par exemple il donne l’exemple d’un homme qui voulait ouvrir un restaurant. Pour essayer d’apprendre plus sur les aspects des restaurateurs il s’est mis à travailler quelques heures par semaine dans un resto. Après quelques temps il a réalisé que ce qu’il aimait en fait c’est vraiment cuisiner, créer et élaborer des plats . Il a découvert que tout l’aspect managérial du restaurant ne l’intéressait pas. Il a donc choisi de devenir uniquement chef. Ce qui est entre nous déjà un très beau métier.
Son argument est d’entreprendre une action. Une toute petite action quotidienne dans la direction de ce qu’on veut créer où devenir.
Oui… Mais. Me diras-tu.
Ces deux mots sont à eux seuls la raison pour laquelle nos vies ne changent pas. En les prononçant on oriente nos pensées vers l’inaction, le découragement.
Si par contre on accueille une idée, et qu’on refuse les « oui mais « notre subconscient s’active pour trouver des moyens de réaliser ce désir.
Les « MAIS » sont des DREAM KILLER.
Mais=
argument en faveur de limitataions
Il insiste sur le fait que le moment parfait pour commencer quelques choses n’existe pas.
Ce n’est pas utile d’attendre ce moment car il ne vient jamais.
LE MOMENT PARFAIT NE VIENT JAMAIS
Les uns se disent : dès que je marie les. Les autres dès que j’obtiens mon divorce… dès que les enfants sont grands… ils reportent, attendent.
Ils attendent en réalité un moment qui ne viendra jamais.
Ainsi ceux qui vivent la vie selon leurs termes commencent pas à pas.
Ils se contentent de faire. Ils commencent à faire au lieu de collecter toutes les raisons pour lesquelles il vaut mieux que rien ne change.
J’aime aussi ce qu’il dit sur le fait d’essayer de réaliser son rêve ou son projet et de se planter. Il montre qu’en fait, il y a des fortes chances qu’au début tu échoues.
Il dit qu’il ne faut surtout pas employer ces échecs comme une raison valable de se décourager.
Selon lui, si tu as essayé 3 fois et que tu t’es planté. Et bien tu es plutôt dans la moyenne .
Il dit que la plupart des gens se décourage très vite en réalité .
3 rejets, 3 échecs en moyenne est ce qui suffit à les dissuader.
Je crois que cette notion de trois rejet est vraiment fondamental et qu’il faut vraiment qu’on se force à ne pas se décourager malgré ça. D’ailleurs je constate que Mark Victor Hansen et Robert Allen en parle aussi dans ce Livre .
Je vous ferais aussi une fiche de lecture sur leur ouvrage bientôt.
Je suis particulièrement d’accord les raisons qu’il avance pour que chacun cherche à vivre selon son élan de vie, sa passion .
Le climat économique actuelle et l’incertitude qu’il engendre sont à eux seuls des arguments en faveur de la recherche d’un mode de vie alternatif.
Un mode de vie plus riche en terme de liberté de passion et de sens. C’est plus que jamais le moment de se recentrer de s’explorer et de se réinventer.
Plus tard dans la vidéo, Less met en garde contre un fléau qui nous guette tous:
cette habitude qu’on a de prétendre.
Cette habitude qu’on a tous de faire semblant:
On fait semblant qu’on sait ce que l’on ne sait pas , on fait semblant qu’on fait alors qu’on ne fait pas.
Et puis et carrément on fait semblant d’être quelqu’un qu’on est pas.
Il dénonce cette attitude qu’on a tous dans une certaine mesure de pretendre qu’on est 100% Satisfait.
Ils parle de ces gens qui font comme s’ils étaient heureux là où ils sont alors qu’au très fond d’eux ils veulent plus de la vie.
Il met les pieds dans le plat et s’adresse à tout ceux qui ont peur de souffrir en sortant de leurs zones de confort. Mais qui pourtant veulent plus. Mais n’ont pas le courage de changer où on peur de changer.
Il dit de se poser et de faire une sincère introspection de reconnaître ce qu’il nous manque et entreprendre les actions nécessaires pour remedier à ce manque.
Il y a énormément de sujet abordé dans la vidéo mais ceux dont je viens de parler sont ceux qui m’ont particulierement touché.
Et je ne suis pas encore où je veux être.
Mais avec ce genre d’écoute et de lectures, beaucoup de choses ont changé en moi en peu de temps.
Comme vous l’avez remarqué. J’ai commencé une nouvelle section qui s’appelle « Mind Food ».
J’y publie des citations des pensées inspirantes et du contenu de blog.
D’ailleurs ceci est mon première article de la section.
Je voulais un peu développer aujourd’hui sur cette phrase qu’on entend souvent dans notre entourage « il a de la chance « Elle a seulement eu de la chance.
J’espère que vous ne faites pas partie des gens qui emploient ce genre de phrases.
Si ?oui?
Un petit peu quand même… de temps en temps …
Alors continuez de lire.
Vous découvrirez comment ne plus jamais prononcer cette phrase mais devenir peut-être celui à propos de qui on dit ça.
Qu’est-ce que exactement la chance ?
Le site du dictionnaire Larousse définit la chance comme une probabilité qu’un événement heureux se produise. Mais également comme une faveur du sort.
Et c’est sur ça que j’aimerais m’attarder quelque peu.
De prime abord on pourrait être tenté de penser que si quelqu’un obtient quelques choses par chance , c’est à dire par pure faveur du sort, c’est qu’il ne le mérite pas.
Du moins… pas vraiment ! N’est-ce pas ?
Comme s’il reçoit quelque chose par erreur.
Or ce n’est pas vrai. Je réalise de plus en plus que cette pure faveur du sort est en fait une réponse de la vie au désir du « chanceux »
Cette chance est en réalité la réponse à ses pensées.
Comment ?
D’abord il faut savoir que
Cette univers dans lequel nous vivons vous et moi obéi à des règles.
Il y a les règles naturelles comme la pesanteur et d’autre plus abstraites. Si abstraites que certains pourraient les qualifier de psychiques ou spirituelles. Personnellement ces dernières sont autant naturelle pour moi que les autres.
C’est peut-être du à ma sensibilité, je ne sais pas.
Dans tout les cas l’une d’entre elles est :
Car quiconque cherche trouve.
Prenez l’exemple d’une personne qui choisirait de quitter son boulot pour aller travailler dans l’industrie où il a toujours rêvé d’évoluer.
Il remet sa lettre de démission puis se met à postuler activement au job de ses rêves. Les semaines passent, les mois passent et il ne decroche même pas un entretien.
Mais il ne se décourage pas il continue de postuler. Il est tellement obsédé par ce désir qu’il continue de postuler .
Son cerveau tourne à 100 à l’heure pour trouver comment se démarquer lors de ses candidatures et comment entrer en contact avec ces gens avec qui il veut bosser. Il y pense de toute ses forces, il y consacre tout son temps.
Je ne sais pas si vous avez déjà eu ça, quand vous ne pouvez plus penser à autre chose…Même quand vous essayez de vous endormir où de vous détendre vous y réfléchissez encore.
Puis un jour, cet homme reçoit un appel . Une quelqu’un veut le rencontrer. Ils ont trouvé son cv sur le net, ils ne savent pas s’il cherche toujours…S’il pourrait être intéressé.
Mon point est qu’il est possible de s’attirer cette chance.
Comment ?
En faisant sa part du boulot. Autrement dit , en cherchant.
En cherchant vraiment.
Je suis persuadé qu’en devenant de ceux qui entreprennent des actions concrètes, de petits pas tout les jours on peut devenir nous aussi une de ces personnes à qui la chance aime sourire.
Comment ?
En sachant premièrement ce qu’on veut vraiment: prenez un instant et une feuille et notez. Notez ce que vous voulez vraiment de cette vie. Écrivez-le noir sur blanc et vous verrez plus clair.
Deuxièmement en se jettant corps et âme dans la recherche de ce qu’on veut.
Et enfin en étant aussi exigeant avec la vie qu’elle ne l’est avec nous.
C’est à dire en acceptant jamais. Au grand jamais non comme une réponse définitive. Et en acceptant jamais qu’une situation qui ne nous convient pas puisse se pérenniser dans notre vie.
Voilà ce que j’avais sur le cœur et que je tenais à partager.
Ça ne veut pas dire que je suis déjà où je voudrais être et que c’est en vertu de ça que je vous conseille.
Mais je sais que par ces temps d’incertitudes nous sommes nombreux à vouloir vivre une meilleure vie.
Une vie qui a du sens, pour nous et pour les autres.
Et si on peut se motiver les uns les autres en cours de route…alors, pour sur on aura rendu ce monde meilleur.
Il m’a dit sur un ton agacé : » oh mais pourquoi tu partages toujours toutes tes astuces tandis que les autres gardent les leurs pour eux. »
Et bien voilà la réponse: Parceque partager c’est avoir davantage.
Ces tips , ces bons plans je les ai moi même reçu. En les partageant, je crée de l’espace pour en recevoir des nouveaux. J’aime recevoir. La dernière chose que je souhaite c’est bloquer le flux de l’univers. Je veux continuer de recevoir, donc je donne.
Je sais que la nature a horreur du vide. Pour recevoir plus j’ai décidé de partager plus. Ce n’est pas toujours facile car l’inconscient a cette peur de manquer, d’être copié, de cesser d’être unique, d’être désavantagé. Mais en réalité c’est cette peur même qui crée ces manques.
Dès lors partager, donner, devient à mes yeux la seule façon de m’assurer d’avoir toujours.
Ce n’est pas facile, je vous l’avoue. Je suis entrain de désapprendre en apprenant cette nouvelle habitude.
Je m’entraîne en ce moment à ne plus être freiné par la notion de réciprocité où plutôt son absence . Parce que c’est bien l’absence de réciprocité dans certaines relations qui m’a souvent pousser à fermer les vannes.
Mais en réalité c’est un flux général et ce qu’on donne on le reçois de retour même si ce n’est pas des même mains.
J’apprends ça ses jours-ci.
Et vous ? Dans quelle état d’esprit êtes-vous vous actuellement ?
Des foulards, Des turbans, Des headbands et des chouchous… tout un attirail d’accessoires pour cheveux faciler à porter pour styliser vos looks au quotidien.
aujourd’hui je vous parle de mon application coup de coeur du moment.
UNFOLD – création « PIEN PELGE »
J’en ai entendu parler par une super Youtubeuse que vous connaissez surement: Tycia alias tyciadchannel sur Insta
Comme sur la plupart des apps il y a une partie gratuite et une partie payante.
Cela vous permet de styliser vos publications Instagram.
Très complète l’app supporte les photos et les vidéos.
C’est extrement silmple à employer. Sur mon ancien télephone j’avais investi dans la parti payante et franchement c’est une vrai TUERIE.
Des comptes comme Afrosian, Yulie Nick ou mmequeenb l’emploient .
Moi même j’use et j’en abuse pour sur ma page instagram perso
et même sur By Rose.
Depuis j’ai changé de téléphone et de système d’expoitation du coup j’ai perdu l’accès à la partie payante mais je compte m’abonner à nouveau très vite car ça en vaut vraiment la peine. Unfold apporte une touche d’originalité et un coté pro à vos publications.
Et puis Instagram vous donne toujours la possibilité d’enregistrer votre story avant de la publier, et même après je pense… je ne sais pas à verifier.
Ainsi vous pourrez même les partager sur d’autres résaux.
Et rien qu’à avec la partie gratuite il y a totalement moyen de s’eclater. Essayez et surtout dites mois ce que vous en pensez.
Etant occupé avec pas mal de projets en ce moment, j’ai résolu de changer ma façon de publier histoire d’être plus régulière.
Dans cette article je vous annonce quelles seront les thèmes abordés dans mes publications de l’été 2019:
Mon app coup de cœur de l’été 2019
Picnique:sur le pouce comment profiter de l’été au max en restant à la maison.
Neutrals: moodboard déco et mode
Sostrene Grene agréable découverte de cette été
Restez connecté pour découvrir ses nouveautés et surtout donnez moi de vos nouvelles. Avez-vous découvert de nouvelles choses cette été ? Chouette bar, parc, festival … je veux tout savoir.
Et pour cause, je me suis lancé dans la réalisation et la vente d’accessoires pour cheveux.
Vous pourrez en savoir plus en cliquant sur ce lien.
Comme beaucoup le savent, je porte mes cheveux naturels la plupart du temps. Et encore plus depuis que je suis maman.
Comme beaucoup de filles « NAPPY » j’avais mes jours avec et mes jours sans.
Ah ces fameux jours sans plus connu sous le nom de « BAD HAR DAYS »… on a juste envie de s’arrancher la tête ou enfiler un chapeau…
Pour être vite coiffé, j’ai commencé à passer des foulars ou des headbands. Mais ceux disponible dans le commerce étaient souvent trop petit pour ma masse de cheveux crépus… pas assez couvrant.
Je me suis acheté quelques accessoires fait par de talentueuses créatrices trouvé d’instagram, mais il m’en fallait plus car j’ai finalement pris gout à twister mes looks avec ces accessoires. Du coup, j’ai commencé à me faire mes propres accessoires.
Une collègue qui n’a rien manqué de « ma transformation stylistique » (si le terme existe :-p) s’amusait à essayer de prédire quelle serait mon foulard du jour. Après quelques boutades, elle m’a encouragé à proposer mes réalisations à d’autres femmes .
Pour sur je n’était pas la seul à avoir des BAD HAIR DAYS.
Je me suis pris au jeux et By Rose est né. Quelques unes d’entre vous m’ont déjà fait confiance et passé leurs commandes.
Je vis un rêve.
Alors pour tout le soutient et tout cet amour que vous m’envoyez j’aimerais vous dire merci du fond du coeur.
Quand on a un , deux ou plusieurs enfants à la maison il est primordial de l’avoir à l’esprit lorsqu’on décore.
Je n’ai pas pris ça en compte lorsqu’on a emmenegé. Pourtant j’étais enceinte. Maintenant que la petite grandit et bouge de plus en plus, je repense notre intérieur afin que non seulement Red mais aussi tout les bouts de choux que nous recevons régulierement soient à l’aise sans pour autant que je doive renoncer à une jolie déco.
J’ai collecté quelques idées à ce propos que je partage avec vous dans cette article:
En ce qui concerne les textiles des canapés et autres rideaux je pense qu’il faut privilegier des matieres lavables, résistantes et imperméables.
Même si au premièr abord le canapé en cuir brun n’a pas l’air très « hygge » où tendance, dites-vous que vous pouvez totalement changer son look en l’agrémentant de coussins et de plaids. Ainsi lorsqu’un accident arrive, il vous suffit de les retirer le tout et de le jetter dans la machine à laver.
Dans salon pensez à créer un espace ou les enfants peuvent dessiner, et colorier pendant que toute la tribu regarde la télé ou discute.
Et ensuite n’hésitez pas à encadrer leurs oeuvres d’art. Choisissez des cadres sobres et modernes. En plus d’avoir de bons souvenirs et ça apportera tout de suite un coté pro à leurs créations. Qui sait, leprochain Picasso se cachent peut-être chez vous.
Lachez-vous dans leurs chambres! Les couleurs et les imprimés sont toujours les bienvenuS dans les chambres d’enfants et surtout exit les clichés vu et revus du bleu layettes et rose bonbons.
Faites de vos livres une oeuvre d’art! Dans votre chambre, leurs chambres, le salon ou toute pièce ou vous stockez vos bouquains, exposez-les. Présentez-les comme vous le feriez avec de jolies objets. D’autant plus que la plupart de ces ouvrages ont de très joiles couvertures.
Des yeux partout:
Ouvrez les espaces pour garder un oeil sur eux. Fusionnez la salle de jeux avec la salle à manger ou la cuisine. Si vous n’avez pas tant d’espace, pensez à leur créer un coin jeux dans chacune de ses pieces. Délimitez l’endroit avec un tapis ou un parc, ajoutez aussi dans les allentours de quoi ranger rapidement les jouets une fois qu’on quitte la piece.
Une table en bois: rien de plus, rien de moins.
Comme Red vouloir tout aggriper, mon père m’a conseillé de retirer la nappes et de garder ma table en bois nu dans la salle à manger. Il est venu dinner l’autre soir et nous a raconté comment j’ai gaché un diner entre amis à moi toute seule quand j’avais un an ou deux en tirant sur la nappe. Sans son intervention toute la vaisseles se retrouvait sur ma tête. A l’époquene Afrique, n’y a avait pas Ubber eats, je me demande encore ce qu’ils ont mangé ce soir là.
Enfin certain designers conseil de reserver les photos de famille pour des pieces plus privées tel que les chambres afin de conserver un aspect sophistiqué dans le reste de la maison. En ce qui me concerne je ne fais pas ça. J’ai des photos de ceux que j’aime pleins mon salon, mélangé aux autres oeuvres d’art qui me touchent. En revache, j’ai commencé à limiter les couleurs. J’ai décidé que dans le salon-salle àmanger nous n’aurions que des photos en noir et blanc et des objects dans les ton neutres… Comme tout le reste d’ailleurs. On a reservé les couleurs et les imprimé pour les coussins, les plaids et les affaires de Red.
On fait adapte notre maison petit à petit pour ne pas se ruiner dans un makeover. Et vous comment vivez-vous à la maison avec de jeunes enfants?
Pourquoi les horloges murales constituent-elles une part si importantes de la décoration d’intérieur ?
Que peuvent-elles apporter à votre intérieur ?
Autant de questions auxquelles je vais tenter de vous répondre dans cette article.
L’horloge mural est un moyen abordable d’améliorer votre décoration intérieure.
Ça peut sembler vous sembler fou au première abord. Mais je vous garantis que si vous les choisissez avec soins, elles peuvent vraiment devenir un plus dans votre déco.
De plus ces horloges décorative sont assez facile à trouver. Il y en a de toute sorte: de toutes les formes et toutes les matières.
On en trouve, en acrylique, en bois, en plastique et même en métal.
En choisissant votre horloge murale garder à l’esprit qu’il s’agit d’une pièce de décoration qui doit venir s’intégrer à ce que vous avez déjà à la maison. Prenez donc quelques choses qui vous ressemble. Cherchez jusqu’à tomber sur le coup de cœur.
Et comme elles sont en général plutôt bon marché, vous pouvez carrément en choisir plusieurs et vous constituer un genre de galerie 😅. Oui je sais avec moi on en vient toujours à ça. Mais avouez quand même que la galerie vous métamorphose votre intérieur en un clin d’œil en plus d’être franchement dans l’air du temps.
Non mais plus sérieusement, dans votre galerie composé de cadres, de tableaux et de miroirs en tout genre. Une ou des horloges rondes réellement peuvent casser un le style un peu stricte de tout ces angles droits et donner de l’ampleur à votre déco.
Les experts disent que lorsqu’on a des murs clairs il faut choisir une horloges foncée… Sans doute. C’est un choix que j’aurais aussi fait naturellement. Après, je ne peux pas m’empêcher de penser que d’autres combinaisons plus osé peuvent donner un résultat tout aussi détonnant.
Et pour être honnête certaines pièces sont dotées d’horloges murales si belles qu’on en oublie que leur but est de nous donner l’heure.
Gagner de la place dans la salle à manger pour les dîner à la bonne franquette
Ça peut également devenir une table à dessiner improvisé pour les tout petits, en y ajoutant une petite chaises.
Un siège comfortable pour se chausser,se déchausser et poser son sac dans le couloir et se créer une petite entrée cozy.
Se créer un espace petit déjeuner et surf pouvoir prendre le café pendant des heures le dimanche dans la cuisine.
Se croire à l’hôtel dans sa chambre en se dotant d’un jolie bout de lit
Où profiter d’un coin lecture cosy :
Vous l’aurez compris, peut importe où vous le placer, le banc est une solution qui apporte du chien à votre intérieur et vous permet de gagner quelques rangements supplémentaires.
Vous êtes vous êtes vous déjà demandé comment intégrer votre tv à votre déco ? La plupart du temps quand on aborde ce sujet, les gens n’ont en tête que l’alternative qui consiste à enfermer la télévision dans une armoire.
Pourtant d’autres options existent !
Si vous peinez à trouver un arrangement mural qui vous plaît, vous pouvez toujours structurer votre espace tv à l’aide de lampes par exemple:
Vous pouvez également mettre une où plusieurs horloges autour de votre Tv, originalité garantie:
C’est toujours bien d’avoir une variété de forme et de texture n’hésitez pas à mixer les styles.
Envisagez cet espace comme une maquette géante et laisser libre court à votre imagination.
SI on est plutôt du genre cartésien, des tableaux disposés symétriquement ça peut avoir son petit effet :
Ça fonctionne aussi avec des bibliothèques:
Mais personnellement, je trouve le rendu meilleur quand on laisse libre court à sa créativité.
Et vous? Vous avez décoré comment autour de votre TV?
Surfant sur cette grande tendance 2019 : le maximaliste, j’ai eu envie d’un petit article « inspo » ce soir.
Le vieil adage qui recommande de retirer un accessoire avant de sortir ne s’applique pas forcément en déco.
Une galerie d’art personnalisée, posée dans sur un pan du mur ou bien carrément du sol au plafond apporte du caractère à n’importe quelle pièce de la maison et vous permet de laisser libre court à votre imagination.
Perso, depuis quelques temps je suis convaincue que la « gallery wall » et même la double « gallery wall » peut transformer n’importe quelle endroit si en lieu mémorable.
Et ce que j’aime encore plus c’est que même si moi et toute mes copines décidons de réaliser des « wall gallery » chez nous, on n’en aura pas 2 identiques.
Rassembler, mélanger, associer, cumuler, maximalisme kesako ? Ceci fera très bientôt l’objet d’un prochain article.
L’idée de cette article m’est venu lors d’ une discussion avec une copine. Elle me dit qu’elle attend l’été pour décorer sa maison.
J’ai remarqué que beaucoup de gens autour de moi ont cette tendance. Ils veulent attendre. Ils veulent prendre le temps de se constituer une « cagnotte » déco. Ils attendent pour s’approprier nos lieux de vie.
Je trouve ça étrange.
Parce-que la décoration c’est futile et la vie, c’est la vie. Je m’explique. On a tous et on aura encore d’autres projets sur le feu. Soit pour le quotidien, soit pour financer autre chose. Et en fait, cette cagnotte aussitôt remplie sera toujours vidée pour des choses plus utiles qu’un jolie intérieure.
Et c’est pas plus mal en réalité car on décore pour se sentir bien à la maison. Prendre du plaisir à être chez sois.
Dès lors pourquoi attendre ? Ce qu’on recherche c’est un sentiment, une ambiance, une sensation, pas besoin de se constituer une cagnotte pour ça.
Arrêtons de vouloir transformer nos maisons en parfaite maquette Ikea, château d’Ax où je ne sais quoi car en réalité personne n’habite ses maquette de magasins de meubles. La déco pour être chouette ça doit vous ressembler. Çà doit vous raconter.
Je suis sur que vous avez des affaires. Des livres, des magazines alors exposez- les ! Exposez-les sur des étagères, une bibliothèque où même par Terre. Regardez :
Vous pouvez les classer par couleur où par taille … à l’horizontale où à la verticale où les 2… Rajoutez sur votre fameuse pile un cadre photo avec un souvenir de vacances où la photo de quelqu’un qui vous est cher.
Si vous avez des tableaux, même des miroirs suspendez les où posez les au sols.
Profitez-en dès maintenant et puis quand ce sera posée, l’inspiration vous viendra, vous verrez s’il vous faut une plante là, un chandelier ici , un tapis par çi où un paniers par là.
Votre grand-mère vide son grenier allez-y ! Voyez si vous pouvez récupérer quelques objets qui viendront agrémenter votre intérieur en plus d’avoir une histoire…
Les photos… vos photos… vos souvenirs, sur Instagram c’est bien mais sur vos murs c’est mieux.
Vous aimez les citations, les lettres imprimez les, encadrez-les et mettez- les au mur.
Vous allez boire un verre dans un bar et vous tombez sur une carte avec une image que vous trouvez jolie, prenez,rentrez encadrez, et hop sur le mur de l’entrée de la cuisine même des toilettes si vous voulez.
Pour les africains : votre amie, votre cousine, sœur, voisine où que sais-je se marie et vous avez reçu le pagne d’uniforme encadrez les chutes !
L’habillement de votre intérieur doit se composer de vos événements de vie, de choses qui vous touchent , de vos souvenirs.
Si vous faites ainsi, petit à petit en utilisant un maximum ce que vous avez sous la main. Je vous garantis qu’en même pas 3 mois vous aurez totalement transformé votre maison.
Quand on a commencé à faire nos courses bébé, on a un peu parcouru les listes pré-faites qu’on trouve sur Pinterest. C’est sûr ça qu’on s’est basé. J’ai aussi questionné quelques maman autour de moi.
De façon générale, je pense qu’on a fait de bonnes courses. Ceci dit, à 6 semaines après mon accouchement, je déplore tout de même quelques loupés: la table à langer, le rangement des fringues de bébé, le manger de bébé et son transports. On a complété nos achats au fur et à mesure depuis.
Au départ pour la table à langer, je n’ai pas été originale. J’avais sélectionné la Solgul d’Ikea. J’appréciais le fait de y ajouter des rangements sur le côté pour y mettre du liniment, de l’eau, des Pampers, du sérum phy… tout avoir tout à porté de main.
Seulement le jour des courses papa n’a pas du tout apprécié ce meuble : » j’aime pas, c’est quoi ce truc… » « C’est pas solide…la preuve le prix…blabla blablabla » du coup je l’ai laissé en choisir une. Alors qu’en principe ce genre de choses c’est moi qui décide. Il a choisi la Gulliver…
Pas mal mais bon il y a moins de place sûr le plan de travail et le rebord est trop épais pour pouvoir ajouter les corbeilles de tables à langer Onsklig.
Résultats je me retrouvais sans cesse à devoir entasser les choses de premières nécessités aux bords où à me baisser pour prendre ce dont j’avais besoin.
Pour solutionner ça, j’ai d’abord pensé à acheter une petite desserte roulante. Sur Pinterest beaucoup emploient la desserte Raskog d’Ikea pour pouvoir ranger les affaires de bébé. Dans ma cave j’avais encore une desserte en bois qu’on avait acheté dans l’autre appartement. Du coup je l’ai remonté dans la chambre de la petite et j’ai pu ainsi élargir le plan de travail de ma table à langer.
L’autre achat « foireux » était le tire lait manuel. Tirer son lait avec cet engin… ça prend un temps fou. J’ai tenté et j’ai finis par laisser tomber. Finalement ma belle sœur m’a offert un tire lait électrique.Et sans mentir je pense que c’est grâce à ça que j’allaite encore. Je donne le sein un maximum mais quand je commence à avoir trop mal je tire mon lait. Ça me permet de faire un break en d’autant plus que les visiteurs sont ravis de pouvoir donner le biberon à la petite.
Enfin mon troisième achat tardif mais indispensable est l’écharpe de portage. Mais comment j’ai fait sans avant ? Immensément pratique, à la maison ça me permet de vaquer à quelques occupations pendant que ma petite princesse dort. Puis quand on sort faire un tour, c’est beaucoup plus agréable qu’une poussette pour déambuler dans les rayons des magasins par exemple.
Voilà, voilà. Ce sont mes essentiels du moment.
Et comme il s’agit de mon tout premier article de l’année.J’en profite pour vous présenter mes meilleurs vœux 2019.
Mon beau sapin, roi des forêts que j’aime ta verdure. Quand par l’hiver bois et guérets sont dépouillés de leurs attraits
Mon beau sapin tu gardes ta parure…
Il paraîtrait que ce soit la raison pour laquelle cet arbre symbolise cette période de l’année.
On rencontre toutefois beaucoup de paresseux qui comme moi font le choix de l’arbre artificiel.
Il faut bien reconnaître qu’il est moins majestueux qu’un vrai…mais tellement plus pratique surtout avec un nourrisson d’à peine quelques semaines dans les parages. En moins de deux on le remonte de la cave puis on passe l’après midi à le décorer.
Ceci étant dit, partir à la recherche du conifère parfait peut constituer une tradition amusante et être source de précieux souvenirs familiaux. C’est pour ça que nous nous sommes promis de repasser à l’arbre de Noël naturel dès que notre petite princesse sera en âge de comprendre et de partager ce moment avec nous.
L’autre jour avec l’une de mes belles sœurs on s’est justement fait la réflexion qu’il y avait une mode également pour les sapins. Enfin plutôt une sorte de tendance pour la décoration. Toujours en voguant sur ce mood « hygge » on a vu foisonner sur les réseaux cette année des sapins décorés très frugalement:
Dans des tons neutres :
Ou argenté et même chez ma mère d’ailleurs :
J’ai aussi vu des sapins pastels, oui oui des sapins pastels:
C’est doux et gourmand, ça réveille des envie de friandise rien qu’à les regarder.
En ce qui me concerne je suis resté dans la pure tradition coca cola du rouge et du blanc:
À l’heure où les femmes rêvent de sacs à mains de designers et de chaussures à semelles rouges, j’ai ce truc ce truc en ce moment avec les tapis.
Ma mère a quelques jolies tapis auxquels je n’ai jamais prêté une grande attention. Puis, cette été, elle a déménagé. Une organisation énorme après 11 ans passé au même endroit.
Le jour où ils ont remonté le salon dans son nouvel appart je n’étais pas là. Je suis passé quelques jours après. Je me suis senti directement « comme à la maison » . À bien y réfléchir, je suis suis persuadée que les beaux tapis carmins et pourpres de ma maman y sont pour quelque choses. Ils jouent clairement un rôle essentiel dans la chaleur qui se dégage de son salon-salle à manger.
J’ai pu constater que même en ce qui concerne les tapis il y a des tendances . À une époque, les gens avaient tous chez eux des tapis épais à poils longs. Lourds et encombrants, ils emmagasinaient pas mal de poussière et étaient difficiles à entretenir.
Puis avec l’avènement de toutes ces tendances minimalistes et scandinaves, on s’est tourné vers des tapis à poils ras où tissé à plat, dans des matières et des coloris plus naturel.
Discret, simple d’entretien et solide. Ils éclaircissent les pièces tout en les réchauffant.
Dans la catégorie « vu, revu et qui continuent de fonctionner », j’appelle le « Lappljung Ruta » d’Ikea. Il a été décliné sous toutes les formes possibles et imaginables par les aficionados de déco ethniques sur les réseaux.
Tant et si bien qu’il est devenu selon moi moi, une sorte d’icône des intérieurs revendiquant un parti pris « tribal ».
En parallèle de ces tendances qui se modent et se demodent on a des classiques forts, les intemporels orientaux par exemple qui ornent nos musées et nos maisons depuis longtemps.
Le tapis le plus ancien qui ait été retrouvé est celui de Pazyryk. Il aurait probablement été noué en Perse 400 ans avant l’arrivée du Christ. Il est exposé au musée de l’Ermitage à Saint-Pétersbourg.
Sur le site tout sur les tapis j’ai lu que les peuplades des Steppes d’Asie central auraient été les premiers à développer l’art de nouer les tapis. Le but était d’habiller leurs tantes pour se protéger du grand froids.
De nos jours, nous les employons encore à cette fin. Mais aussi dans un soucis d’esthétique, il s’agit d’une pièce quasi incontournable en décoration selon moi . Cela ne vous viendrai pas à l’idée de porter une belle tenue et de négliger vos chaussures ?
C’exactement la même chose avec les tapis. En accord avec le reste de la déco où plutôt en opposition, nos intérieurs s’en revêtent pour finir leurs looks.
Il y a certains endroits de la maison qui ont tendance à être mort et peu accueillant, comme les couloirs, (je vous en avait parlé ici, un tapis créé instinctivement un sentier visuel qui connectant harmonieusement n’importe quelles pièces.
Les tapis ont également le pouvoir de délimiter les espaces et apporter de la structure aux grandes pièces. Ma mère a placé dans sa grande pièce vivre deux tapis d’un même style et d’un même coloris: un au salon et l’autre dan la salle à manger. Cet assemblement coordonne parfaitement les 2 espaces ayant chacune une fonction bien distinctes.
Choix d’autant plus judicieux dans les les habitations ayant des pièces qui s’ouvrent en enfilade.
J’y pense en parlant d’enfilade, il y a quelques choses qu’on voit dans les magasins déco mais qu’ose rarement à la maison: la superposition de tapis!
Quand la majorité des gens pensent tapis, ils ont encore en tête la carpette rectangulaire et sagement symétrique. Pourtant dans les grandes pièces, on peut sans soucis superposer les tapis pour créer du dynamisme.
Accumuler et superposer des tapis ajoute de la texture et du relief à la décoration d’une pièce.
Regardez comme ce contraste apporte une signature unique.
Enfin, un tapis n’a pas sa place que sur le sol, il habille également très bien les murs en plus d’être un excellent absorbeur de son.
Dans mon salon actuellement j’ai un tissé plat en jute:
Je l’ai depuis longtemps et j’en suis contente mais je trouve qu’il n’apporte pas assez de peps. Je voulais le changer mais je songe à me laisser tenter par une superposition avec quelque chose de plus osé, histoire de le réveiller un peu.
Dans la salle à manger on n’en a aussi pris un tissé à plat. Regardez :
Je ne me lasse ni de ces motifs et de ces couleurs.
Et vous? Avez-vous des tapis chez vous ? Vous les avez placer comment ?
On a déménagé il y a pas longtemps. Entre ça et le grand évènement que nous sommes entrain de préparer (je vous en dirai plus bientôt) j’ai très peu de temps pour moi et encore moins pour le blog.
J’étais ravie de déménager car j’allais à nouveau avoir le plaisir de décorer mon intérieur.
J’ai commencé petit à petit mais je suis loin d’avoir finis. Un de ces 4 je vous ferai le tour du propriétaire.
Pour le moment je tergiverse sur des suspensions pour le salon. On en a trouvé ici. Mais je les trouve trop simple, un peu fade :
Et puisque les murs et les plafonds sont tout blanc, j’essaie d’animer et de les habiller comme je peux. Vraiment avec les moyens du bord, car ce n’est absolument pas la priorité pour le moment.
Quand tout est lacté la moindre variation frappe et peu rapidement devenir aggressif . C’est pourquoi j’essaie de décorer en privilégiant les tons neutres et les matières naturelles.
J’ai souvent vu la suspension sinnerlig chez ikea sans avoir un réel coup de foudre. Pourtant en rentrant à la maison, il y a quelques soirs, un de mes voisins avait ses rideaux grand ouvert et j’ai vu ce petit bijoux dans un vrai salon. Ça été comme une révélation.
Depuis je me dit que je me laisserai bien tenter.
Malgré le fait qu’elle soit imposante, je compte en acheter deux. Une pour le salon et une pour la salle à manger, histoire de faire liaison entre les deux pièces. D’autant plus que l’une s’ouvre sur l’autre.
En attendant de pouvoir faire un saut chez ikea, et de pouvoir vous montrer ce que j’ai fait, j’ai déniché quelques inspirations sur pinterest et Instagram.
Voilà des mois que je collectionne des photos de sols inspirants en vue d’écrire un petit article sur la façon dont le revêtement du sol peut enrichir la déco d’une pièce.
Du bleu dans les escaliers du bleu sur les murs ce carrelage hummm la cerise sur le gâteau
J’ai sélectionné quelques illustrations de la façon dont on peut en tirer avantage d’un sol atypique et s’en servir pour apporter un vrai cachet authentique à son intérieur.
Peu importe la pièce où on a un revêtement inattendu, en l’associant à des tons neutres, on attire l’attention sur lui. Et on obtient à coup sûr un effet original.
C’est l’astuce idéale pour apporter un côté unique à son intérieur et s’éloigner du vu et revu des intérieurs scandinaves.
Et si un intérieur qui vous ressemble commençai aussi par un sol qui vous est propre ?
La commode en bois et le carrelage apportent un côté familiale et provinciale où il fait bon vivre
Ici, le noir et le blanc des murs et portes font du sol l’élément déco fort de ce couloir.
Les murs et le sol graphique constituent la signature beauté de cette salle de bains
Le week-end passé et déjà un peu avant, la neige a cessé, le temps s’est amélioré. Je ne me souviens plus s’il faisait plus doux en tout cas il faisait plus lumineux. On l’avait attendu si longtemps cette fin d’hiver qu’on s’est laissé porté par les prémisses des jours meilleurs.
… Capturer la lumière partout où on peut:
…Photographier les looks printaniers qu’on aimerait arborer au plus vite:
Seulement voilà, ça n’a pas duré. En moins de temps qu’il fallu pour le dire les rues baignées de soleil de ma ville
Ont recommencé à faire grise mine.
Les nuages et les perturbations sont revenus, et bien entendu, la pluie est revenu.
Mais depuis ce matin, la grisaille a pris des vacances
et c’est plein soleil sur Bruxelles.
Je sais que certains disent que Bruxelles n’est qu’une ville de bureaux, la Washington d’Europe, mais je ne partage pas cet avis.
Quand on sait ou regarder, les charmes de cette villes se renouvellent sans cesse.
Quand on parle de service client et on pense obligatoirement à de longues minutes passées au téléphone à attendre qu’un agent blasé ou stressé décroche.
Et bien souvent, il s’agit d’une interaction emprunt de tension. Puisque le manque de temps empêche souvent ces gens de pouvoir vraiment nous aider.
À une époque où toutes les grandes entreprises s’autolabellisent « customer obsessed » et « digital oriented », c’est tout de même ironique de ne pouvoir les contacter que par téléphone. Surtout en cas de mécontentement, quand on a spécialement besoin que ça aille vite.
Avec tout ce qu’on a à disposition aujourd’hui, ne serait-il pas envisageable de faire autrement ? Engager de plus en plus « demoiselles du téléphone »? Étendre toujours et encore plus les heures de travail ?
Comme beaucoup de personnes je pense que la réponse se trouve dans les réseaux sociaux et les canaux digitaux .
Je m’explique, on a nos smartphone à porté de main presque h24. Via Instagram, Twitter, Facebook et même LinkedIn par exemple, on peut contacter n’importe qui n’importe quand. Et ce, dès qu’on a une question, une réaction et un peu de temps.
L’autre avantage est que via ces moyens de communication on a rarement la motivation d écrire des tartines. On va droit au but.
Vivant à Bruxelles, j’emprunte tout les jours le réseau Stib. La plupart du temps ça se passe bien. On en oublierait presque que ces transports en commun ne sont pas né avec notre ville. Mais parfois, un chauffeur file à toute allure faisant une impasse sur la sécurité. Il arrive aussi de temps à autre que des rumeurs de grèves commencent à se rependre pendant mes heures de travail. Avec Facebook, je contacte directement la STIB via leur page. Généralement je reçois une réponse personnalisé assez rapidement.
Grâce à leur application et leurs autres canaux digitaux je peux consulter l’évolution de la situation en temps réel. Alors qu’avant quand j’étais plus jeune et bien si on voulait râler ou avoir une info en tant qu’usager il fallait soit écrire un courrier où patienter des heures au téléphone.
Selon moi, ces nouveaux moyens de communication permettent vraiment de développer une relation client. Principalement parce que les liens qu’on a avec l’entreprise sont multipliés, ça tisse un lien presque émotionnelle.
J’ai choisi comme exemple la Stib par exemple. J’emploie leurs services depuis des années. J’ai assisté à l’évolution de beaucoup d’entre eux. Comme je l’ai dit plus haut. D’ailleurs, hier, on passait du côté de la chasse on allait prendre un café à Flagey et on a découvert que le tram 81 a enfin été remplacé par un « nouveau » tram. Ça fait longtemps qu’on les voit ces nouveaux tram, circuler sur les lignes 93 ou 94 mais le 81 c’était toujours l’ancien tramway. On était content, on parlait du fait que ces nouveaux trams sont plus spacieux et plus faciles d’accès pour les poussettes et les personnes à mobilité réduite lorsque j’ai été prise d’un pincement au cœur. J’ai soudainement réalisé, trop tard certainement, que ces anciens tramways faisaient parti intégrantes du charme de ce genre de quartier.
Des souvenirs avec la Stib, les bruxellois en ont plein et de toutes sortes. J’ai goûté à la déconvenue de me faire sortir du 54 ou du 71 lors d’ un contrôle inattendu. Depuis je n’oublie plus mon abonnement dans mon sac de la veille. J’ai senti mon cœur battre à la chamade le matin dans le métro quand j’y croisais le garçon que j’aimais bien. Je me rappelles d’anciennes camarades de classe qui ont eu leurs premiers flirts à Montgomery.
Je ne sais pas si Bruxelles c’est la Stib, mais nous les bruxellois, on a tous une relation particulière avec la Stib: On vérifie combien de temps il reste avant le prochain bus sur l’app en squattant le WiFi chez nos amis, on active la 4G dans les trams et les bus pour pousser un coup de gueule sur Facebook ou Twitter quand on trouve qu’ils pourraient mieux faire. Et sur Instagram ? Et bien une communauté se créée, on partage, on commente, on découvre des artistes comme Krekgreg. Ce sont majoritairement ses magnifiques photos que j’ai utilisée pour mon article aujourd’hui. Comme lui, je participe à la vie de la communauté STIB en partageant mes souvenirs via le hashtag du même nom.
Au fil du temps, des échanges et des partages, il s’est crée entre la stib et ses clients, ses usagers dépendance et une mutuelle. La Stib c’est nous, et Bruxelles c’est nous. Une ville, une entreprise, des clients, des habitants devenus symbole d’un style de vie où un équilibre s’est installé entre l’urbain et les espaces verts, entre le réel et le digital.
This is for the them thirty something that didn’t turn out exactly how your mom and dad wanted you to be (…) This is for them bitter something stop living in regret, baby, it’s not over yet
Beyoncé – Schoolin’ Life
Beaucoup de gens que j’aime ont eu ou auront 30 ans cette année.
Je me rappelle qu’il y a pas si longtemps, j’ai fêté moi aussi, mes 30 ans. Alors j’ai décidé de partager le souvenir de mon « turning thirty ».
Avoir 30 ans, c’est le symbole de la vie d’adulte par excellence. Et même si le concept « d’adulescence » se propage de plus en plus, les jeunes trentenaires perçoivent tout de même une pression latente concernant la fameuse « bucket list « . Celle qui résume de manière exhaustive où on devrait en être dans la vie à 30 ans.
Top carrière, top propriétaire, top vie sentimentale, top voiture et top poids sur la balance à moins d’avoir dans le ventre un top bébé instagrammable et Facebookable à souhait.
Qu’est-ce qui se passe quand on a pas toutes ces choses pile le jour ou on fête ces 30 ans ?
On déprime.
Si vous avez l’inconsciente optimisme de vous dire que vous êtes en bonne santé et que c’est l’essentiel. Prenez garde à vous, des commentaires faussement bien intentionnés pourraient venir vous rappeler que vous n’avez pas de quoi être fière.
Cette année là, tout s’est magnifiquement agencé pour que le jour même de mes 30 ans je sois sans boulot, sans permis de conduire, sans mari sans enfant et vivant à nouveau chez mes parents.
J’ai la chance d’avoir une famille très présente. Alors ce jour-là, ma maman, mes sœurs et mes tantes ont organisé une petite fête de famille pour que la transition se passe le plus tendrement possible.
Mais une ancienne amie (faites attention, à vos amis, on ne le dira jamais assez) a jugé utile de m’envoyer un SMS d’anniversaire pour me demander si je n’étais pas trop triste d’avoir 30 ans dans ces conditions là.
Ça m’a mis dans une colère noire: J’étais prête à bondir sur mon téléphone pour lui rappeler tout les épisodes honteux de sa propre vie.
Heureusement, ma sœur m’a ramené à la raison. Personne ne devait me gâcher cette journée unique. Que je le veuille où non, je n’aurais 30 ans qu’une fois alors autant rendre l’événement exceptionnel.
Après un dîner en famille copieux et chaleureux , j’ ai été rejoindre un ami pour boire un verre. Sans savoir qu’il deviendrait le futur homme de ma vie et sans savoir non plus qu’il avait prévu une tonne de cadeaux et d’attentions pour que ce « turning 30 » soit un moment inoubliable.
Dans le train qui m’emmenait à Bruxelles je suis arrivée à une conclusion qui m’a libéré pour toujours. Ça m’a aussi permis de pardonner à cette fille et de l’oublier. Bucket list ou pas, pour avoir le temps et les mots d’écrire un message aussi méchant il faut être sois-même bien malheureux.
Perdu dans nos désirs d’avoir, d’être et de paraître, on oublie bien souvent que la base de toute vie réussie est la santé physique et mentale.
Les mariages, les voyages, les carrières ennuyeusement stables, les enfants…etc tout ça c’est beau…c’est une source de fierté. Cependant, ça n’a du sens que si on va est bien et qu’on est en paix avec soi-même.
La joie et la force de vivre, la réussite et le bonheur, c’est de ce qui est à l’intérieur de nous que ça vient pas de la bucket list. Oui, c’est quand ça vient de l’intérieur que ça a ce goût… ineffable… qui nous transfigure presque en quelque chose de magnétique.
Il y a tellement de personnes prêtes à nous faire sentir mal parce qu’ils ont quelque chose que nous n’avons pas encore ou que nous avons perdu. Avant de se vexer, je propose de regarder de plus prêt. On constate alors que c’est aussi parfois pour cacher l’envie, le doute, ou les regrets nous pointent du doigts.
Les gens riches et malheureux ça existe. Les épouses malheureuses ça existe. Les propriétaires malheureux ça existe. les cadres et les parents malheureux aussi. Je ne dit pas qu’avoir ces choses engendres automatiquement de la frustration, seulement que la vie de personne n’est parfaite et que chaque étape de la vie vient avec ces propres challenges.
C’est pourquoi que je tenais à dire à toutes les « thirty something »que la vie est encore pleine de surprises, alors exit la bucket list.
Avoir 30 ans c’est géniale, fêtez-ça comme il se doit. Vous avez le reste de la vie pour commencer à ressembler à tout le monde. Encore mieux, ne leur ressemblez jamais ! Soyez vous !
À 30 ans, vous avez gagné le droit de vivre votre vie comme vous l’entendez !
Avant les ordinateurs et écrans sur nos lieux de travail, dans les cafés, dans les églises, les messages et communiqués étaient transmis sur des tableaux avec de petites lettres rétros.
Comme beaucoup de symboles « old school » les tableaux et letter boards font leurs grands retour depuis quelques temps.
Ces tableaux customisables à souhait constituent à présent un « must-have » pour les bloggers , les instagrameurs et les décorateurs d’intérieurs.
Les installer un peu partout à la maison est idéal pour exprimer votre sens de l’humour où vos sentiments à ceux qui partagent votre vie.
Contrairement aux autres pièces déco, ces tableaux sont des pages blanches où l’on peut laisser libre cours à ses pensées ou les valeurs auxquelles on croient. On peut même le changer tout les jours.
Pour ma part je ne leur ai jamais porté une grande attention jusqu’au jour où je suis tombé sur celui de Freddie Harrel sur son Instagram.
J’ai trouvé ça magnifique. Le message m’a totalement séduit. Et après mon mariage coutumier j’en ai mis un dans ma salle à manger… Avec le même message.
Croyez-le ou non, récemment durant une discussion un peu houleuse avec mon époux, à court d’arguments il a brandi notre letter board en disant oublie tout ça et rappelle toi:
Pleine d’émotions je me suis jeté dans ses bras et j’ai oublié pourquoi j’étais fâché.
Si vous faites un tour dans un Casa où tout autre magasin déco n’hésitez pas à vous en procurer un.
Merci Freddie pour cette belle découverte et à tous avec un peu d’avance: joyeuse Saint-Valentin.
Je crois qu’on a tous une personne comme ça dans notre entourage. Quelqu’un qui semble parfois marcher à contre courant mais qui est en fait doté d’une « surconscience ». Et quand on s’éparpille, on se perds, elle est là pour nous rappeler ce qu’on oublie trop souvent: l’essentiel.
Prendre soins de soi… Dire stop à la surexposition, » l’oversollicitation « , l’hyperimplication énergétique, émotionnelle temporelle et même financière.
On passe notre vie à vouloir aider, sauver, s’impliquer.
Sans encourager l’isolement sociale, je suis convaincue qu’il est primordiale de prendre du temps pour soi. Du temps pour écouter le silence et en jouir. Du temps pour se recalibrer et se souvenir de ce qui est vraiment important pour soi.
Quand les relations et la communication deviennent infructueuses et pénibles. Quand la fatigue est notre seul mode de fonctionnement c’est que le temps du replis stratégique est arrivé.
Quand les frustrations, les incompréhensions et les situations rocambolesques s’accumulent, il faut prendre conscience que le temps est venu de se récupérer. C’est le moment de se recentrer.
Aller trouver un nouveau souffle dans les activités qui nous amplifient notre énergie vitale.
Les défis, les situations délicates ne s’arrêtent jamais. Pourtant nous, humains sommes limités dans le temps et dans l’espace.
Il nous est primordiale de recharger nos batteries. Alors prenez du temps pour vous.
Dans le jardin sucré d’œillets et d’aromates, Lorsque l’aube a mouillé le serpolet touffu Et que les lourds frelons, suspendus aux tomates, Chancellent de rosée et de sève pourvus
Anna de Noailles
Depuis quelques mois, on voit foisonner sur les réseaux sociaux des habitats ou l’extérieur s’est invité à l’intérieur.
Sur Instagram, sur Pinterest ou dans les magasines spécialisés sont exposés des lieux de vie ayant acquis une beauté toute particulière par les plantes qui les habillent.
Bien qu’inspirante et aisée à mettre en place, cette tendance déco peut susciter quelques questionnements:
Puis je décorer n’importe quelle pièce de la maison avec des plantes ? Combien en mettre? Lesquelles choisir ? Des vraies plantes ? Pour quel budget ? Comment en prendre soins?
J’ai déniché ici et là quelques intérieurs inspirants pour nous inciter à succomber à cette « plantothérapie » si bénéfique à nos maisons et à nos âmes.
Le seul mot à retenir est: LIBERTE.
Faites ce que voulez. Les plantes envahissent tous les murs et se déposent sur toutes vos étagères de la cuisine à la chambre. Alors mettez-en autant que vous voulez, ou vous le voulez.
Observez la façon dont les elles transforment ces salles de bains en vrais oasis.
Offrez-vous une jungle intérieure qui débordera jusque dans les escaliers.
Métamorphosez votre chambre à coucher en serre romantique et tranquille.
Des solutions pour botaniser et végétaliser votre intérieur? Naturelles ou artificielles?
Si vous êtes comme moi et que vous n’aimez pas choisir, optez pour les combos.Pourquoi s’en priver?
Nos rêves prennent forme à force d’y croire. C’est vrai que les autres ne peuvent les voir. Mais si il y a de la foi et de l’espoir, un jour ils se matérialisent.
Isso Motema
Dix longues années, c’est le temps qui s’est écoulé entre le temps ou j’ai voulu bloguer et le moment ou je l’ai vraiment fait.
Pourquoi? Que m’a-t-il manqué toutes ces années? Un ordinateur personnel? non. Une connexion internet? non non. Alors, qu’est ce qu’il s’est passé?
Rien!
La procrastination, la honte. Je me suis trouvé tellement d’excuses.
J’attendais le bon moment, la période parfaite de ma vie. J’avais aussi honte de faire ça mal… alors je me disais que je ferrais mieux d’attendre. C’est bien connu: attendre avant de faire quelque choses qu’on ne sait pas faire c’est la meilleure façon d’apprendre à la faire.
Un jour, dans le toilettes du boulot je me suis rendu compte que 10 années s’étaient écoulées. Je me suis regardé dans le miroir (c’est cliché, mais c’est ce qui s’est passé). J’ai réalisé que la peur d’échouer, la peur de faire mal m’avait refréné et m’avait empêché d’apprendre d’évoluer dans ce domaine tout ce temps.
« Long story short » j’ai commencé en fin décembre 2017. J’ai refusé que cette année là aussi, se termine comme ça.
Et me voilà.
J’ai passé ces 2 dernières années dans une boite géniale. Pas une seule fois j’ai traînée les pieds pour aller travailler. Je réalise que j’ai retiré beaucoup d’épanouissement de mon boulot et ça a irradié sur l’ensemble des autres domaines de ma vie. Et pourtant à mon arrivé chez eux, je ne savais rien de rien à ce qu’il fallait savoir pour bien faire mon travail. Je ne maîtrisais même pas la langue usuelle de l’entreprise. Je ne la maîtrise toujours pas d’ailleurs. Je suis toujours entrain de l’apprendre. Ceci étant dit, je peux tout de même communiquer avec mes collègues et mes clients dans cette langues par écris ou oralement, c’est le principale. Ce qui a fait la différence? Mon état d’esprit et l’état d’esprit que j’ai rencontré là-bas: l’envie de collaborer, de créer de la valeur ensemble, de s’entraider pour réussir ensemble. J’aime ce que je fais donc je le fais avec plaisir. Est-ce que c’est parfait? Loin de là? Pourtant la qualité est aujourd’hui meilleure que ce qu’elle était hier et moins bonne que ce qu’elle sera demain.
Et cet état d’esprit est essentiel pour avancer, innover. Forte de ce que j’ai compris, j’ai commencé ce blog.
Est-ce que c’est parfait? Non. Est ce que j’ai déjà une communauté? « Of course not ». N’empêche qu’en 2 semaines j’ai appris énormément de choses. C’est bien plus que ce que j’ai appris du domaine en procrastinant pendant 10 ans. Par ailleurs, je fais ce que j’aime. Et quand on fait ce qu’on aime on travail pas.
Cette vidéo est une de celles qui m’ont beaucoup inspiré. Je vous la recommande.
Pour 2018 je vous souhaite bien entendu la santé, plus encore je vous souhaite surtout d’oser!
Je vous souhaite d’essayer tout ce que vous avez toujours voulu essayer.
Je vous souhaite de finaliser les projets déjà entamés et de vous lancer dans de nouvelles aventures. Acceptez que la perfection n’est pas un état mais bien un idéal qui doit nous motiver à nous améliorer et à innover.
La table est ronde Derrière la chaise où s’assied la mère Il y a la fenêtre D’où l’on voit la mer Briller sous le soleil Les caps aux feuillages sombres des pins et des oliviers Et plus près les villas aux toits rouges Aux toits rouges où fument les cheminées Car c’est l’heure du repas
Guillaume Apollinaire
Durant les fêtes on a aimé les jolies tables bien décorées, les sapins là ou on se réunissait. On a aimé l’atmosphère conviviale et accueillante que ces choses créent.
Maintenant que tout est passé, est ce qu’on est vraiment obligé d’enterrer notre table à manger sous une pile de bouquins et de courrier non lus? Je comprend bien que garder un sapin toute l’année dans la salle à manger n’est pas envisageable mais si on le remplaçait par une énorme plante ou un autre arbre?
Aujourd’hui je vous ai concocté quelques astuces pour créer dans votre « dinning room »une ambiance ou vous et vos proches prendrez plaisir à vous retrouver.
UNE TABLE EXTENSIBLE
Selon l’espace que vous avez et le nombre de personnes que vous recevez plusieurs solutions sont envisageables.
Pour un maximum de flexibilité, la plupart des gens optent pour des tables extensibles. Vous pourrez ainsi manger à 2 ou 4 la majorité du temps et recevoir jusqu’à une douzaine personnes à votre table lors de dîner de famille ou de soirée entre amis.
DEPARAILLEZ DEPARAILLEZ DEPARAILLEZ
Si comme moi, vous trouvez trop guindé les salle à manger traditionnelles avec d’encombrantes chaises conventionnellement identiques. Si vous voulez garder un coté simple pratique et chaleureux. Je vous conseil de dépareiller les chaises. Vous pouvez même en remplacez quelques unes par un banc sur lequel vous jetterez une fourrure. Vous pourrez même y ranger les feutres de vos enfants dans des paniers quand l’heure du repas sera arrivé .
DU REFLET DE LA LUMIERE ET DES MIROIRS
Bien, s’il y a une pièce ou on tape juste depuis longtemps avec les miroirs (pièces d’aisance mis à part bien entendu) c’est la salle à manger.
Et parfois vous n’avez sérieusement pas besoin de plus. Des murs vides un grand miroir aux bordures bien soignées et votre salle à manger. Comme sur cette photo que j’ai trouvé sur le blog www.bleuberryhome.fr
GALERIE D’ART
Qu’est ce qu’on met sur les murs? C’est l’endroit de prédilections pour un grand tableau vintage.
Les peinture et d’objet d’art, les de photos de familles, la salle à manger est un endroit opportun pour les exposer. Accroché au mur ou posé à même le sol vous créerez ainsi votre propre galerie d’art. Les desseins de vos enfants encadrés y ont naturellement une place d’honneur.
Un autre avantage est que vous n’aurez plus à tergiverser des heures durant sur « LA PEINTURE » à poser dans votre salle à manger. Vous seriez surpris du rendu que vous pourriez avoir en les combinant toutes.
La grande place, le chocolat, les bières belges typiques, Notre Dame du Sablon, l’Atomium, Manneken pis, voir et être vu au café belga …C’est ce qu’est Bruxelles pour beaucoup de voyageurs. Moi ?je vis ici. Et c’est sur Bruxelles de Jacques Brel que je vais vous présenter ce qu’est ma vie, ma ville.
C’était au temps où Bruxelles rêvait
C’était au temps du cinéma muet
C’était au temps où Bruxelles chantait
C’était au temps où Bruxelles bruxellait
Place de Broukère on voyait des vitrines
Avec des hommes des femmes en crinoline
Place de Broukère on voyait l’omnibus
Avec des femmes des messieurs en gibus
Et sur l’impériale
Le cœur dans les étoiles
Il y avait mon grand-père
Il y avait ma grand-mère
Il était militaire
Elle était fonctionnaire
Il pensait pas elle pensait rien
Et on voudrait que je sois malin
C’était au temps où Bruxelles chantait
C’était au temps du cinéma muet
C’était au temps où Bruxelles rêvait
C’était au temps où Bruxelles bruxellait
Sur les pavés de la place Sainte-Catherine
Dansaient les hommes les femmes en crinoline
Sur les pavés dansaient les omnibus
Avec des femmes des messieurs en gibus
Et sur l’impériale
Le cœur dans les étoiles
Il y avait mon grand-père
Il y avait ma grand-mère
Il avait su y faire
Elle l’avait laissé faire
Ils l’avaient donc fait tous les deux
Et on voudrait que je sois sérieux
C’était au temps où Bruxelles rêvait
C’était au temps du cinéma muet
C’était au temps où Bruxelles dansait
C’était au temps où Bruxelles bruxellait
Sous les lampions de la place Sainte-Justine
Chantaient les hommes les femmes en crinoline
Sous les lampions dansaient les omnibus
Avec des femmes des messieurs en gibus
Et sur l’impériale
Le cœur dans les étoiles
Il y avait mon grand-père
Il y avait ma grand-mère
Il attendait la guerre
Elle attendait mon père
Ils étaient gais comme le canal
Et on voudrait que j’aie le moral
C’était au temps où Bruxelles rêvait
C’était au temps du cinéma muet
C’était au temps où Bruxelles chantait
C’était au temps où Bruxelles bruxellait
Sur la luzerne en fleur assise, Qui chante dès le frais matin ? C’est la fille aux cheveux de lin, La belle aux lèvres de cerise.
Charles-Marie Leconte De Lisle
Pour commencer je vous souhaite une superbe année 2018.
Voici mon premier article de l’année.
La décoration intérieure c’est un peu comme la mode. Les « it » tendances changent sans arrêt. On peut s’en inspirer… cependant si on tombe dans l’excès et on se retrouve loin de l’effet escompté. Car les appartements qui ressemblent à des clichés Instagram sont, selon moi, tout aussi impersonnel que ceux ou on a tout posé plic ploc.
Alors en 2018, un bel intérieur? Oui, mais tout en gardant son propre style.
Le style a quelque chose d’intemporel. Il transcende les tendances, il émane de vous. C’est une façon d’attacher vos cheveux, une allure, une attitude, une façon de prononcer les mots…une signature.
Je pense qu’on devrait retrouver ça dans nos intérieurs aussi.
Chez moi par exemple, il n’y aucun mur blanc. Dans le salon, la salle à manger et le couloir les murs principaux sont lie de vin et le reste est lilas. Dans la chambre le mur principale est pourpre et les 3 autres sont d’une couleur mauve rosé. Quand on est arrivé, j’étais omnibulée par l’idée de tout repeindre en blanc. On a tout laissé comme ça et aujourd’hui on est ravis de l’ambiance un opulent et mystérieux qui règne chez nous.
En parcourant Pinterest et les sites de déco j’ai sélectionné pour vous quelques petites tendances déco 2018.
LILAS ET LAVANDE
J’ai récemment découvert que la lavande sera une des « it » couleur en 2018.
Pas la peine d’aller tout repeindre à la maison. Des petites touches ici ou là suffiront à donner un coup de frais à votre intérieur.
DE L’OR
L’autre tendance sympa de 2018 est l’or.
Sur la robinetterie ou sur les meubles quelques touches dorées seront du plus belle effet cette année.
ÉMERAUDE ET VELOURS
Du vert olive et du velours pour un intérieur douillet emprunt d’ésotérisme.
LE MINIMALISME CHAUD
Des tons chauds qui réchauffent des intérieurs au style scandinave.
L’aurore ressemble à ton âge ; Jeanne, il existe sous les cieux On ne sait quel doux voisinage Des bons cœurs avec les beaux lieux. Victor Hugo
Presque tout le monde sait que les miroirs ont le pouvoir d’agrandir visuellement une pièce.
Ou les placer? Lesquelles choisir? Pour quel rendu?
J’ai préparé quelques conseils pour vous aider à décorer votre intérieur à l’aide de miroirs.
DES MIROIRS POUR CRÉER DES FENÊTRES
Comme des fenêtres les miroirs apportent de la lumière à une pièce donc n’hésitez pas à en placez aux endroits ou vous auriez souhaitez avoir des fenêtres. Et ce, même et surtout dans une pièce ou vous n’en avez pas.
ÉLARGIR UNE PIÈCE AVEC DES MIROIRS
Les designers ont tendance à employer les miroirs dans de petites pièces pour les agrandir, leur donner du souffle. Toujours dans un soucis d’esthétique, il faut veiller à soigner le reflet. Ce doit être quelque chose d’agréable… sinon… ça peut tout gâcher.
EFFET DRAMATIQUE
Les grands miroirs dans les petits espaces permettent donnent un coté dramatique à la décoration. Le genre de cachet, de petit truc qu’en plus qu’aucun autre élément déco ne pourraient apporter.
DES MIROIRS DANS L’ENTRÉE, LE COULOIR OU LA CAGE ESCALIERS.
En Belgique on a souvent des appartements ou des maisons avec ces long couloirs étroits et sombres.
Un miroir change totalement la donne et fait oublier cette sensation d’écrasée, de rétréci. Je pense même que quand on en a les moyens, il ne faut pas hésiter à recouvrir tout un pan du couloir ou de la cage d’escalier de miroirs…gain de luminosité garanti.
ROMANTIQUE
Au salon ou dans le bureau, dans la cuisine ou dans l’entrée, dans n’importe quel pièce ou on souhaite cette liberté, s’offrir un mur entier de miroir est un luxe absolu. On les dispose et on les expose comme des œuvres d’art. En plus de décupler la lumière, présenté comme ça, ils donnent un effet romantique et nous laisse rêveur.